La réorganisation du groupe Pimkie intervient alors qu’il accuserait des pertes opérationnelles s’élevant à 45 millions, dont 3 millions pour la France, contre un excédent de 18 millions d’euros dans l’Hexagone en 2016. L’année avait pourtant bien commencé… – RGA/REA
L’enseigne de prêt-à-porter Pimkie pourrait supprimer 200 emplois en utilisant, et ce serait une première, le nouveau dispositif de rupture conventionnelle collectif, l’une des nouvelles mesures phares de la loi travail. Les syndicats sont vent debout.
200 postes seraient dans le viseur de la direction de la chaine de prêt-à-porter Pimkie. Avec un déficit de 45 millions d’euros, le groupe pourrait bien inaugurer une nouvelle procédure de la réforme du Code du Travail : la rupture conventionnelle collective. Un plan social déguisé selon les syndicats, qui craignent que les indemnités soient réduites au minimum.
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