Au lendemain des élections européennes, le spectacle de la classe politicienne française est assez désolant et fait penser à « l’Armée de Bourbaki », pitoyable et dépenaillée. Nous y distinguons :
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Les Gardes Nationaux, le vent en poupe.
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Les Gardes Républicains, en panne et à l’arrêt.
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La Garde Républicaine, en-marche vers on ne sait où.
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Les Gardes des Eaux et Forêts, verts galants.
Et quelques autres miliciens plus ou moins soumis ou insoumis. Entre-eux, les différences sont minces et ténues, aussi, certains cherchent-ils à s’amalgamer en un ventre mou capable de digérer n’importe quelle soupe à la grimace. Ô Misère des coqs, quelle basse-cour !
Encore heureux qu’il y ait un « Ailleurs en France » ! Je ne parlais là que de la République et des Républicains, pas de la France ni des Français ! De notre « Ailleurs en France », notre « jardin à la française » secret et bien gardé par des Gardes Françaises, pourrait revenir la Renaissance de notre pays. Notre pays va bien, et les Français aussi ; seuls de mauvais docteurs nous entretiennent dans un pessimisme délétère pour faire perdurer leur utilité ! Il font mourir à petit feu, le Malade Imaginaire ; ils sont nos gardes-malades et ont tout intérêt à nous garder ainsi !
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