Paradoxalement, l’assassinat d’humanitaires français au Niger est un signe d’affaiblissement des groupes terroristes, incapables de prendre d’assaut des villes comme naguère. Reste le problème de la corruption, qui mine les efforts pour mettre sur pied des forces locales efficaces.
Fallait-il faire cette sortie dans la réserve naturelle de Kouaré, pour aller observer les girafes ? Et la France est-elle en train de s’enliser au Sahel ? Depuis l’attaque qui a coûté la vie le 9 août à sept employés d’Acted, une ONG française, dans ce parc situé à vingt-cinq kilomètres de Niamey, la capitale du Niger, ces deux questions tournent dans les esprits…
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