Par Guilhem de Tarlé
La guerre civile espagnole se termina à la fin du 1er trimestre 1939, et dès février la France – du Front populaire – avait reconnu le gouvernement franquiste tandis que 400 000 réfugiés passaient la frontière française – la Retirada – et étaient internés dans des camps.
Bartoli était de ceux-là. Avouerais-je, une fois de plus, que le nom de ce dessinateur m’était inconnu, par ailleurs commissaire politique du POUM, Parti Ouvrier d’unification Marxiste (dissidence du Parti Communiste, qualifiée de « trotskiste »).
Si le dessin est bien fait, avec de nombreuses reproductions des œuvres de l’artiste, j’ai néanmoins eu du mal, malgré les fils de fer barbelé, à m’accrocher à ce film de propagande anti « fâchiste ».
J’ai néanmoins noté qu’après s’être échappé de différents camps, le héros n’avait pas participé à la guerre contre les nazis mais s’était réfugié au Mexique (1943) où il devint l’amant de Frida Kahlo à qui l’on attribue le poème « Tu mérites un amour… ». L’a-t-elle écrit à son attention ?
PS : vous pouvez retrouver ce « commentaire » et 500 autres sur mon blog Je ciné mate.