Au micro de Boulevard Voltaire, la chroniqueuse rappelle que ce n’est pas en France ou aux États-Unis mais « en Afrique ou dans des pays arabes que les Africains vivent comme des esclaves enfermés comme des chiens dans des cages ». Elle accuse Black Lives Matter de faire son fonds de commerce en jouant la carte de la victimisation, tout en agressant les personnes qui pensent différemment.
Le mouvement Black Lives Matter a été nommé au prix Nobel de la paix. Le discours ambiant dit que c’est une chance pour toutes les personnes noires du monde. Qu’elle est votre position ?
Je ne dirais pas que c’est une grande chance. Selon moi, le mouvement Black Lives Matter est un mouvement terroriste. Il a fait beaucoup de mal à la communauté noire voire la communauté africaine. Selon les médias, les noirs américains ne se considèrent pas africains, mais afros-descendants et ne s’identifient pas à l’Afrique. Bon nombre de personnes se plaignent d’être noirs et Africains aux États-Unis ou en Occident. S’il y avait vraiment un problème d’appartenance ou d’acceptation de la race noire, ils seraient tous rentrés en Afrique. C’est vraiment mon point de vue. En Afrique, ils sont sûrs d’être au milieu de ceux qui ont la même couleur de peau.
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