Fabrice de Chanceuil, fonctionnaire spécialisé dans les domaines de l’environnement et de la mer et journaliste indépendant à ses heures, évoque une facette peu connue du Prince Philip, Duc d’Édimbourg, décédé début avril : son inlassable travail de sensibilisation en faveur de la préservation de l’environnement.
Son Altesse Royale, le Prince Philip, Duc d’Édimbourg, est décédé le 9 avril dernier au Château de Windsor dans sa centième année. Devenu Prince consort (bien qu’il n’en ait jamais reçu officiellement le titre) avec l’accession de son épouse Élisabeth au Trône de Grande-Bretagne et d’Irlande-du-Nord en 1952, il aura occupé la fonction pendant près de soixante-dix ans, imprimant ainsi, dans la durée, sa marque faite d’élégance et de bienveillance.
Président ou parrain de plus de huit cents associations et œuvres diverses agissant dans les domaines les plus variés, allant de l’éducation au sport en passant par les arts, il s’est particulièrement impliqué dans celui de la protection de l’environnement et de la conservation de la nature.
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