« On ne laissera rien passer ! » Ces mâles paroles chez un homme qui ne nous a jamais habitué à la fermeté, sauf contre les gilets jaunes, c’est-à-dire le pays réel, sont-elles vraiment rassurantes après plus de 260 morts depuis Charlie Hebdo ?
Aujourd’hui, une policière, âgée de 49 ans, mère de deux enfants, égorgée devant ses collègues est l’illustration tragique du fameux « en même temps ».
Et les « experts », du haut de leur expertise, viennent expliquer sur les plateaux télé avec des têtes de croque-morts que le risque zéro n’existe pas !
Ne rien laisser passer dites-vous M. Macron ?
Pourtant on laisse tout passer quand l’immigration massive, incontrôlée, légale et illégale continue de traverser nos frontières.
On laisse tout passer quand s’installe la haine raciste des décoloniaux, qu’on se met à genoux devant eux, qu’on a honte de nos ancêtres et qu’on parle en anglais de « déconstruction de notre Histoire » !
On laisse tout passer, quand on frappe uniquement sur les nationaux lanceurs d’alerte en faisant planer le spectre du danger fantasmé de l’extrême droite.
Enfin, aujourd’hui, on a tout laissé passer en accordant à ce meurtrier tunisien après dix ans de clandestinité, un titre de séjour permanent pour obéir aux ordres de Bruxelles.
La machine de transformation radicale de notre société lancée par les hypers capitalistes, qui règnent notamment à Davos, comporte de sordides dommages collatéraux et c’est le peuple de France qui paye la note de son sang !
Le Bureau Politique de l’Action française