Par Guilhem de Tarlé
A l’affiche : Petite maman, un film français de Céline Sciamma, avec Stéphane Varupenne (le père) et les deux sœurs jumelles, Joséphine et Gabrielle Sanz (Nelly et Marion, la fille et sa mère).
« J’ai rien compris au film ».
C’est l’expression favorite de mon épouse devant l’absurdité de ce qui se passe et de ce qui se dit dans notre monde en perdition.
Ce fut, de façon concrète, son premier mot au sortir de la salle de cinéma alors que d’habitude je compte sur elle pour m’expliciter tel élément qui a pu m’échapper. Il faut dire que, cette fois-ci, j’avais l’avantage très net d’avoir choisi cette production après la lecture d’un quatre pages promotionnel.
Le sujet original permettait d’espérer un bon film, à savoir un « voyage dans le temps (…) la rencontre et l’amitié entre une petite fille et sa mère enfant (…) s’imaginer dans un rapport avec son parent à l’état d’enfant ».
Ce fut, après un début très lent, absolument sans intérêt et relativement ennuyeux.
PS : vous pouvez retrouver ce « commentaire » et plus de 500 autres sur mon blog Je ciné mate.