Le mois d’août s’achève mais il sera difficile de revenir sur ces cinq dernières semaines de puissants délires qui se sont multipliés en République du Bisounoursland : trop d’absurdités se sont enchaînées au Cerfaland, et obligent l’observateur extérieur à ne retenir qu’une écume passagère… Qui n’en reste pas moins significative de l’air du temps.
Air du temps qui ne sent décidément pas très bon. C’est en effet dans une odeur fortement soufrée qu’on apprend que la violence en France, puissamment combattue par notre gouvernement et notamment Gérald Dardmalin, son extraordinaire ministre de l’Intérieur, n’en finit pas de diminuer pardon d’augmenter : la période après le confinement de janvier à juin de cette année a ainsi vu le nombre d’homicides et d’agressions dépasser celui d’avant la crise sanitaire sur la même période (de 16 % tout de même), et ce alors que s’accroissent aussi les tensions sociales, exacerbées par les choix ségrégationnistes subtils du président Macron.
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