Alors que la colline du crack a récemment été évacuée, rien n’a changé et le problème reste entier à Paris. Ils seraient à minima 1500 à consommer quotidiennement cette drogue du pauvre dans les rues parisiennes. Les toxicomanes se rassemblent et forment régulièrement des camps en plein Paris ou en banlieue. Vincent Lapierre et l’équipe du Média pour Tous sont allés à la rencontre des habitants du 19eme arrondissement, rue Riquet, là où s’entassent 400 crackers.
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