Des heurts ont émaillé les rassemblements organisés dans plusieurs grandes villes de France, le 8 mars, afin de manifester pour la Journée internationale des droits de la femme et contre les violences faites aux femmes. Des militantes féministes « radicales » disent avoir été prises à partie en raison de leurs prises de position sur la transidentité ou l’abolition de la prostitution.
Pour les militantes de l’Amazone, un collectif de féministes dites « radicales », des violences étaient encore à prévoir cette année à l’occasion de la manifestation du 8 mars, Journée internationale des droits des femmes, à l’instar des années précédentes. Sur Twitter, dès le début d’après-midi, en amont des manifestations prévues à Paris et dans plusieurs grandes villes de France, des militantes proposaient déjà de « s’organiser » contre les « TERF ». Acronyme de « Trans-exclusionary radical feminist », ce terme désigne une partie des militantes féministes qui estiment que l’activisme en faveur des personnes transgenres au sein des organisations féministes conduit à « invisibiliser les femmes ».
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