Par Radu Portocala.
Ces réflexions brèves mais fortes et qui remettent certaines pendules à l’heure, sont parues sur la page Facebook de leur auteur le 5 avril.
Les bureaucrates de Bruxelles se complaisent de plus en plus dans le rôle du gendarme.
Après avoir infligé à la Russie des sanctions qui nous coûtent très cher, ils vont appliquer des mesures de rétorsion à la Hongrie. Elle est coupable d’avoir porté une fois de plus au pouvoir le parti de Viktor Orban, lequel est coupable de tenir Zelensky pour un adversaire. Et cela pour la raison insignifiante que l’Ukraine persécute la minorité hongroise qui y vit (comme, d’ailleurs, toutes les autres minorités, privées de bon nombre de droits dans ce pays que nous admirons tant depuis un mois).
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