Usant de sa qualité de présidente non-élue de la Commission européenne, Ursula von der Leyen a négocié – seule, sans aucun mandat – directement avec Albert Bourla, PDG de Pfizer, l’achat de doses de « vaccin » pour plus de 70 milliards d’euros. Ces négociations se sont faites par SMS, ce qui, en soi, est une grande curiosité.
Divers organismes de l’UE ont donc demandé à Mme von der Leyen de montrer les SMS en question. Chaque fois, elle a refusé. Elle refuse encore, alors que c’est la Cour des comptes de l’UE qui le lui demande. Personne dans le Babel bureaucratique de Bruxelles ne s’interroge sur l’anomalie, l’illégalité de ces refus. Personne là-bas ne fait ce raisonnement simple : si elle refuse avec une telle obstination de montrer ses communications avec Bourla, c’est qu’elles contreviennent à la loi. Tout le monde accepte – même si quelques-uns rouspètent impuissamment -, et Mme von der Leyen a toutes les chances d’obtenir un deuxième mandat de cheffesse-en-chef.
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