En manifestant un 11 novembre devant la mairie de Perpignan pour défendre le droit du Nouvel Parti Anticapitaliste à insulter son maire en le traitant de «fasciste», Carole Delga nous rappelle que même le 11 novembre, elle ne compte pas mettre son sectarisme en veilleuse.
Déjà condamnée pour discrimination à raison des opinions politiques envers la commune de Beaucaire, dirigée par le maire RN Julien Sanchez, Carole Delga incarne le sectarisme politique devenu son seul moyen d’exister. Elle ne vise en réalité qu’à trouver une identité à une gauche régionale en perte de vision, en perte de repères et devant faire face à son échec.
Cette stratégie cynique n’occulte pas le bilan d’une politique qui ignore les réalités d’aujourd’hui et dont les chiffres sont parlants. L’Occitanie est l’une des régions les plus pauvres de France avec un taux de pauvreté de 16.8%. La précarité atteint des niveaux stratosphériques avec 22% des habitants d’Occitanie de moins de 65 ans considérés comme précaires. Carole Delga aime tellement les pauvres qu’elle en fabrique.
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