Par Olivier Perceval
Les téléspectateurs du monde entier ont pu découvrir l’existence de l’Action française et même celle du père de « l’empirisme organisateur » dont chacun a pu voir le nom tracé en grandes lettres blanches sur la route des champions de la petite reine, à cinq kilomètres de l’étape du puy de Dôme. En effet le tour de France est une manifestation très populaire, non seulement dans notre patrie, mais dans le monde, la plus importante, somme toute, et la plus suivie de l’Atlantique à l’Oural et même au-delà…
L’équipe de militants n’a pas ménagée sa peine pour préparer cette opération sympathique, en hommage au Français du « pays réel » aux joies simples et conviviales.
Il a fallu, plusieurs jours en amont, tracer discrètement et de nuit les inscriptions, dont une grande partie sera effacée dès le lendemain matin. Il a fallu jouer à cache-cache avec les camions du tour pour mener à bien ce : « happening » (en bon français).
Mais nos camarades étaient aussi sur place le jour, sur le parcours de la course pour acclamer les cyclistes et communier dans cet enthousiasme spontané avec la France réelle.
Certains spectateurs ont même aidé nos amis à tenir la banderole au passage du peloton.
Sans violence et sans haine, l’AF a voulu montrer qu’elle est définitivement du côté du peuple victime du mépris des « élites », non pas celles qui défendirent l’épée à la main notre belle patrie comme naguère, mais plutôt celles qui composent « l’arc républicain » issus de la grande finance et dont l’ambition est de faire de notre pays une « start-up nation » Ce peuple de France, composé essentiellement des classes moyennes, artisans , commerçants, agriculteurs et autres métiers libres, ne demande qu’une chose en définitive, qu’on lui rende l’art de vivre à la française.