Si nous lisons bien, Richard de Seze ne s’exprime ici au nom d’aucune école, ni même d’aucune publication en particulier. Il parle donc, si l’on peut dire, au nom de lui-même, ce qui n’est déjà pas mal, ce qui est aussi signe de cette liberté d’esprit et de ton qu’on commence à lui connaître et qui suscitent en tout cas intérêt et empathie. C’est aussi la possibilité grande ouverte de le discuter et les lecteurs de JSF n’ont pas l’habitude de s’en priver.
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