Non content de se mettre à dos les deux états du Maghreb, Macron s’agite avec de belles paroles à Villers-Cotterêts, mais sabote la Francophonie.
Ilyes Zouari nous communique
Chaque année, les milliers de décideurs politiques et économiques francophones de passage en France, ainsi que des milliers d’étudiants, retournent dans leur pays après avoir observé la politique d’éradication de la langue française en France. Une fois sur place, l’information circule…
NB : Pour ceux qui penseraient qu’un éventuel passage de l’Algérie à l’anglais serait une bonne chose pour notre pays au niveau des flux migratoires : pour des raisons historiques et géographiques, un passage à l’anglais n’aurait qu’un impact marginal sur l’immigration en provenance de l’Algérie. Toutefois, et vu que la progression de l’anglais va toujours de pair avec celle de l’islam radial et du port du niqab, nous aurions alors une immigration algérienne bien plus islamisée et problématique…
Veuillez trouver, ci-dessous, le lien vers un article de la presse algérienne, faisant suite au dernier article du CERMF, largement et intégralement relayé dans l’espace francophone (Langue française : l’hostilité de la France à l’égard de la francophonie en 12 points ahurissants, sous la présidence d’Emmanuel Macron) :