Par Olivier Perceval
« Samedi vers 18 heures, 80 individus ont tenté d’entrer dans le quartier de la Monnaie pour en découdre », a annoncé la préfecture de la Drôme, citée par l’AFP. Ce qui a donné lieu à des affrontements avec les forces de l’ordre venues protéger le quartier.
Et la gauche de réagir, avec en tête les communistes qui doivent sans doute se racheter de leurs effronteries envers Mélenchon :
« Voilà ce qui se passe quand l’extrême droite crée les conditions de la guerre civile… » a commenté le secrétaire national du Parti communiste, Fabien Roussel. « Opération ratonnade pour intimider tout un quartier de Romans-sur-Isère par des néonazis. L’extrême droite attise la haine à partir d’un meurtre tragique et cherche à fracturer notre société. » « A quand l’interdiction de ces groupuscules ultraviolents et racistes ? » demande le sénateur communiste Fabien Gay.
Et puis avec des variations de curseur allant de la dénonciation de l’extrême droite à la renaissance de la bête immonde, des macronistes à l’extrême gauche en passant par la gauche modérée, on s’indigne, on déchire ses vêtements, on réclame procès, répressions, persécutions et exécutions. L’heure est grave, les jeunesses hitlériennes sont à l’œuvre.
Doit-on s’étonner de voir s’étrangler d’indignation, ceux qui ont oublié de dire quelques mots sur l’assassinat de Thomas, où qui l’on fait du bout des lèvres sous la pression des honnêtes gens excédés ?
Résumons-nous, un Français de 16 ans, enfant d’un village et d’une famille qui a encore des racines, est poignardé à mort par un Français de papier. Eh oui, Julien Dray refuse de faire la différence entre les deux sortes de Français. Il n’a pas dû mettre les pieds depuis longtemps en banlieue ! : beaucoup de ces jeunes, qui ont la carte d’identité française, se déclarent eux même Français de papier et Algériens, Marocains, ou Tunisiens de cœur et désormais il en va de même pout les Nigériens, Maliens et autres subsahariens.
Il faut vous mettre à jour monsieur Dray !
Comment ne pas imaginer que des jeunes patriotes, meurtris par cette nouvelle provocation sanglante, aient envie d’aller faire un tour dans le quartier d’où vient la bande de meurtriers ? Il s’agit d’une manifestation spontanée de jeunes gens courageux (et somme toute fort maladroits), pour témoigner que la France et les Français ne se laisseront pas égorger comme des moutons. La police très présente samedi soir est curieusement et malheureusement moins présente, quand ce sont les nôtres qui se font agresser. Nous ne comptons plus à l’AF les plaintes classées sans suites, quand nos militants se font agresser à un contre cinq ou dix par les antifas.
Samedi soir précisément à quelques encablures de la manif, au moment du face à face avec les Français patriotes, un jeune qui attendait dans une voiture s’est fait surprendre par une bande de sauvages. Il a été battu et laissé pour mort sur le macadam, non sans avoir été déshabillé complétement et qu’on ait mis le feu à son véhicule. Pas de police à l’horizon et surtout presse, politiques, commentateurs et autres membres de la caste médiatiquement correcte n’ont soufflé mot de cette histoire, mis à part quelques hommes libres qui s’expriment dans des organes de presse non assujettis à la doxa officielle.
Imaginons un pauvre Maghrébin ou Africain tabassé de la même façon par des Français de souche… J’imagine sans peine la taille des manchettes de journaux.
On dit et surtout on écrit partout que les manifestants ont prononcé des slogans racistes, mais personne ne nous donne le moindre contenu réel. Donc on ne peut se fier à de telles accusations si peu précises, sauf si « Justice pour Thomas » ou « Ni oubli ni pardon » sont considérés par les défenseurs des droits de tous les hommes sauf Français, comme des slogans racistes.
Le pays réel est à cran et l’initiative de ces jeunes constitue la première expression, le premier signe d’une colère qui pourrait enflammer tout le pays.
A l’heure où l’on s’apprête à disperser les nouveaux flux d’immigration massive dans nos campagnes, les banlieues des grandes villes étant saturées et l’ordre de la grosse commission de l’UE étant de continuer d’ouvrir nos frontières à l’Afrique et au Moyen Orient, nos dirigeants feraient bien de s’interroger sur l’impact de cette funeste politique sur la sécurité du pays. Les Français ne laisseront pas la caste des privilégiés saccager le pays et ne veulent pas voir couler le sang de nos compatriotes.