Découvrir l’Europe véritable
Par Philippe Germain
Patriotes inquiets pour la France, nous sommes partis sur la piste de l’Europe et des eurocrates. Comment ? Par l’observation des faits qui donne des certitudes. Nous avons ainsi découvert le visage véritable de l’Europe par petites touches impressionnistes, issues de plusieurs problématiques d’actualité comme l’oligarchie, la démographie, la souveraineté, l’impérialisme, la métapolitique…
Un visage différent de l’Europe imaginaire des démagogues électoraux qui y trouvent le moyen d’aliéner les foules. Un visage différent aussi des connaissances à portée de clic car les téléphones portables favorisent le zapping numérique idéologiquement confus. Pour éviter toute ambigüité, nous avons donc interprété la réalité de l’Europe de manière non seulement simplifiée mais aussi clivante, en suivant le conseil de Maurras : « Ne jouons pas la comédie de l’Européen. C’est français que nous sommes ».
Nous avons interprété l’Europe en fonction de ce qu’elle est et non de ce que certains voudraient qu’elle soit. Nous nous sommes intéressés à la chose Europe et non pas au mot. Nous avons vérifié nos interprétations par la preuve expérimentale, en nous appuyant sur des lois tendancielles dégagées de l’histoire. C’est la méthode empirique. Pourtant le résultat obtenu manque de cohérence. Il reste à mettre de d’ordre dans nos différentes interprétations sur l’Europe. Notre empirisme doit se faire organisateur.
Ainsi, la science politique, définie par Charles Maurras comme l’étude de la physique politique par la méthode de l’empirisme organisateur, pourra servir le seul intérêt français.
Car c’est l’objectif de tout patriote, de tout véritable nationaliste, que de serrer les rangs pour sauver l’héritage, de ne penser qu’à la seule France et à son futur redressement.
Oui, redressement… car les réactionnaires ne sont pas nostalgiques du passé pour immobiliser l’histoire dans l’un de ses moments privilégiés, comme le siècle de Périclès ou la France de Louis XIV. Les réactionnaires d’Action française qui luttent quotidiennement pour changer le cours du temps ne sont nostalgiques que de l’avenir à faire. Qu’on se le dise !
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