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Des principes de gouvernement que les rois capétiens ont appliqués « ont mis en place le socle de notre France contemporaine »

Dans l’ouvrage Supplément philosophique à l’intention des managers, le prince Jean est l’auteur d’une douzaine de pages sur le « management capétien », qu’il est possible de lire depuis le 26 juin dernier en ligne sur JSF ; les voici ici aussi (et l’ouvrage peut être commandé ici : https://www.editions-eyrolles.com/Livre/9782416016479/supplement-philosophique-a-l-intention-des-managers).

Introduction

Y a-t-il eu parmi les rois qui ont fait la France des philosophes ? Je ne sais pas. Peut-être chez les princes ! En tout cas, les rois ont gouverné la France sur une longue période, lorsqu’ils sont restés fidèles à leur vocation et pour le plus grand bien de notre pays.

La constitution de notre nation a été une entreprise de longue haleine et, si on s’en tient aux Capétiens, on pourrait la résumer comme suit : « Maison Capet et Fils depuis 987 — Construction, Rénovation, Mécénat ». Cette entreprise se distingue des deux précédentes dynasties par le fait que le fils aîné est associé à la gestion du royaume, d’abord en étant sacré du vivant de son père et ensuite par la mise en place d’une règle entrée dans les mœurs permettant au fils aîné de succéder directement à son père. Le royaume n’est ainsi plus divisé à la mort du roi et le successeur peut alors continuer l’œuvre entreprise en y apportant ainsi sa touche personnelle.

Cette nouvelle philosophie va s’appuyer sur plusieurs principes de gouvernement, pour certains déjà présents dans les précédentes dynasties et pour d’autres spécifiques à celle-ci. Je vais pour ma part m’en tenir aux huit piliers que j’estime être les plus importants sans ordre particulier d’apparition dans le temps ou d’importance.

Le bien commun

Cette notion aristotélicienne est parfois utilisée aujourd’hui par les rares politiques qui s’y intéressent. On en entend d’ailleurs parler plus souvent au pluriel qu’au singulier. Au singulier, ce qu’Aristote visait, le bien commun correspond à la fin de la société, au but qui doit être atteint.

Il est à la fois le bien du tout qu’est la société et celui des parties qui composent cette société. Pour mieux comprendre la notion de bien commun, on peut utiliser l’image du soleil. Le soleil en effet permet à la fois de voir l’ensemble du paysage qu’il éclaire et de réchauffer chacune de ses composantes. Et en réchauffant, il permet aux êtres vivants de se réaliser plus pleinement en devenant ce pour quoi ils sont faits. Pour le raisin par exemple à finir sur nos tables pour « réjouir le cœur de l’homme », comme il est dit au psaume 104 dans son verset 15.

C’est donc un bien, c’est-à-dire « ce à quoi on tend en toutes circonstances »[i], avec une base naturelle, c’est-à-dire objective, qui apporte quelque chose de positif au tout qu’est la société politique comme aux parties de ce tout que sont les hommes et femmes qui la composent. Ce bien du tout social est architectonique des autres biens intermédiaires, celui des entreprises au sens général, des familles et des individus. C’est-à-dire que ces autres biens lui sont ordonnés. Ainsi, en cherchant à réaliser le bien commun, celui de la société politique qui organise nos vies « d’animaux doués de raison »[ii], nous facilitons la réalisation du bien des structures sociales intermédiaires que sont les entreprises et les familles, comme celui des individus.

Déjà chez les Romains, on retrouve une traduction de cette notion dans la recherche de l’intérêt public. Chez nos rois aussi, dans le serment du sacre. Cette sacralisation du pouvoir donne ainsi une dimension éthique à la fonction royale devant se traduire dans un gouvernement exprimant « le bien commun » (le De regimine principium, écrit par Gilles de Rome pour Philippe le Bel et dont Guillaume Budé recommande encore la lecture à François Ier).

La justice

J’ai toujours pensé que la justice était la vertu des princes par excellence. Quand je dis princes, j’évoque bien sûr ceux de la monarchie mais aussi au sens large ceux qui gouvernent, quelle que soit la nature du régime. La justice cherche à rendre à chacun son dû, que les actes posés soient bons ou mauvais. Il y aura donc une proportion entre l’acte posé et la conséquence, la récompense pour le héros, la sanction pour le malfaiteur.

Ce n’est pas pour rien que le roi était placé en haut de la hiérarchie des organes de justice. Ce pouvoir restait toutefois relatif, car le roi chrétien savait en conscience qu’au-dessus de lui existait une autorité dont il détenait son pouvoir et que les principes religieux et règles sociales qui en découlaient lui imposaient certains devoirs. Être juste était capital pour le roi et les princes de sa maison. Car, de mon point de vue, il n’y a pas de société prospère sans justice. Si la population à un moment donné perçoit qu’il y a des traitements de faveur, que les plus démunis ne sont plus défendus, ce n’est jamais bon signe. La justice imposant aux princes de se dévouer au bien commun de la société dont ils ont la responsabilité, s’ils ne cherchent plus que leurs intérêts propres, ils mettent en place un système injuste et pondent la confiance des populations dont ils ont la charge.

L’exemple de Saint Louis donne tout son sens à mon propos. Dans son Livre des saintes paroles et des bons faits de notre Saint Roi Louis[iii], Jean de Joinville nous narre que le roi allait régulièrement s’asseoir l’été après la messe à Vincennes. Il s’adossait à un chêne et n’importe qui pouvait venir lui demander justice, sans qu’aucun obstacle l’entrave. Dans ces mêmes chroniques, il recommande à son fils aîné Philippe de soutenir la querelle du pauvre jusqu’à ce que celle-ci soit éclaircie. À Dreux, dans la chapelle royale Saint-Louis, notre nécropole, un merveilleux vitrail aux vives couleurs représente l’une de ces scènes. On y voit une mère de famille éplorée se présentant auprès du roi pour lui demander justice contre le sire de Coucy qui a pendu ses deux fils sans autre forme de procès.

Ce qui faisait dire à Jean de Joinville qu’en aucune autre période, les sujets du roi de France n’avaient été si heureux et que, Louis IX disparu, les pauvres avaient perdu leur protecteur.

Le service rendu

On a du mal à imaginer aujourd’hui que le gouvernement des affaires publiques puisse être associé à l’idée d’un service, tant on a l’impression que ce gouvernement est devenu un « business ». Et pourtant, cette idée du service rendu, qu’on trouve déjà dans les dynasties mérovingiennes et carolingiennes qui précèdent, naît de l’idée de justice développée au point précédent et de la réalité de la protection que le seigneur accorde à ceux dont il a la responsabilité en contrepartie d’une délégation de souveraineté.

La population remet donc une partie de sa liberté dans les mains du prince qui, en retour, sert ses sujets en s’occupant d’abord de leur sécurité pour ensuite assurer d’autres fonctions, organisant la vie rurale au départ et celle d’une société plus large ensuite. L’élection d’Hugues Capet procède de cette notion même. En effet, lorsque les grands du royaume doivent trouver un successeur au dernier des Carolingiens, le débat est incertain entre Hugues Capet et Charles de Basse-Lorraine. Le service rendu par Hugues Capet et ses ancêtres les Robertiens, en particulier comme maire du palais au service des Carolingiens, a sans doute été un élément déterminant de cette élection. La note à leur sujet sur Wikipédia traduit bien cette réalité : la puissance des Robertiens, fortement implantés en Neustrie, s’explique moins par « leur carrière royale intermittente » que par leur « capacité à renoncer au trône pour affermir leur position ».

Cela se confirme aussi à d’autres périodes de notre histoire plus récente. Un Napoléon, un Louis-Philippe Ter, un Mac Mahon, un Pétain, un de Gaulle sont autant d’hommes ayant accédé à la fonction suprême du fait du service rendu à la nation, et en particulier sur le champ de bataille.

Des règles simples

Il s’agit des lois fondamentales du royaume. Elles instaurent une hiérarchie entre les lois du roi et les lois du royaume, auxquelles les lois du roi sont d’ailleurs soumises. Elles sont contrôlées par le parlement qui doit veiller à faire respecter cette hiérarchie. Formalisées au fur et à mesure, ces lois fondamentales définissent l’étendue et la limite du pouvoir du roi, les règles de dévolution de la couronne ou règles de succession, mais aussi les libertés fondamentales des communautés et sujets du roi. D’ailleurs, tous étaient sujets du roi de France, comme aujourd’hui les Anglais sont encore sujets du roi d’Angleterre.

Plus les règles étaient simples et peu nombreuses, plus elles étaient sues et ainsi plus facilement admises par tous. Un peu à la manière des Tables de la Loi dans l’Ancien Testament. Il semble qu’aujourd’hui on complique les lois à escient, à tel point qu’il faut toutes sortes de « spécialistes » pour nous faire comprendre des lois qu’ils ont parfois du mal à comprendre eux-mêmes. Quand ce n’est pas des couches qui sont empilées les unes sur les autres et qui laissent toute latitude pour une interprétation erronée de la loi et parfois une application contradictoire.

La fidélité

Cette fidélité procède d’un principe que nous avons déjà évoqué : le service rendu. Lorsqu’au milieu de ses soldats et au cœur du combat un prince défend avec vaillance le bien commun de son pays, il suscite des fidélités. Qu’ont fait nos rois si ce n’est cela, à commencer par Clovis en passant par Henri IV et beaucoup d’autres ?

Susciter des fidélités est primordial, fidélités sur lesquelles le roi doit pouvoir compter pour gouverner. On le voit avec Philippe Auguste et ses troupes et en particulier les milices communales, Louis XI et ses légistes, Louis-Philippe Ter et ses enfants. Le roi doit même pouvoir compter sur des « amis ». On retrouve cette idée dans le livre d’Elisabetta Lurgo[iv], Philippe d’Orléans, qui décrit la confiance que Louis XIV avait dans son frère Monsieur pour mener à bien des missions diplomatiques délicates du fait de ses connexions familiales européennes.

On doit absolument trouver le prince au milieu de ses « sujets ». Il doit pouvoir être vu et touché. L’erreur des Bourbons a sans doute été l’enfermement du roi à Versailles. On ne compte à Louis XVI qu’un seul déplacement en Normandie. Trop peu. Tant que le roi Louis-Philippe assistait aux parades avec ses fils, il était vu et touché. Pour des raisons de sécurité, treize attentats répertoriés et quasiment autant d’attentats déjoués, il s’est peu à peu retiré et a fini par perdre ce contact. Et son fils aîné ayant disparu trop tôt, que serait-il advenu de la Monarchie de Juillet s’il n’avait pas eu cet accident, lui qui était bien ancré dans son époque ? Sans doute aurait-elle continué !

La continuité dans la durée

Comme je l’évoquais rapidement dans mon introduction, avec les Capétiens, c’est une nouvelle philosophie politique qui est mise en place : le fils aîné est associé le plus tôt possible aux affaires du royaume pour en reprendre la direction à la mort de son père. Sans éviter les contestations qu’on retrouve çà et là, comme pendant la guerre de Cent Ans, ce principe a eu l’avantage à chaque disparition du roi d’éviter le morcellement du royaume, source de guerres incessantes entre les héritiers pour la reconstitution de l’ensemble.

Ainsi, petit à petit, avec labeur et sur une longue période, cette dynastie a constitué ce qu’on a appelé le « pré carré capétien »[v] bordé en grande partie par des frontières naturelles constituées de mers et de montagnes. Aussi, à propos de cette dynastie qui a duré un peu plus de 800 ans, peut-on dire avec La Fontaine que « patience et longueur de temps font plus que force ni que rage »[vi].

Quelle force auraient nos politiques aujourd’hui s’ils pouvaient mener une bonne politique de longue haleine sans passer leur temps à déconstruire ce que leurs prédécesseurs ont mis en place. À ce titre, le passage au quinquennat a mis entre parenthèses les vertus qu’avait un septennat sur ce point : un chef de l’État au-dessus de la mêlée avec une vue à long terme et un chef de gouvernement chargé de mener les réformes au quotidien. Quand on regarde nos voisins anglais, on comprend la stature des monarques qui voient passer autant de Premiers ministres.

L’indépendance

Cette indépendance s’est construite à l’intérieur vis-à-vis des grands du royaume et à l’extérieur vis-à-vis de l’empire et de la papauté. Consacrée par l’adage de Philippe Auguste « le roi de France est empereur en son royaume », cette indépendance a été conquise au prix de luttes importantes et de grandes batailles.

Elle a permis aux rois de France d’assurer la maîtrise de notre propre destin. Un destin empreint de liberté, sans doute déjà inscrite dans nos gènes : avec les Carnutes qui se rebellent contre Jules César, les Francs qui donnent leur nom à notre pays, les villes franches qui se développent dans nos provinces, notre monnaie, le franc, créée sous Jean II le Bon en 1360. La France, une terre de liberté, bien avant la Révolution. Pour moi, cette question de la liberté et des libertés est fondamentale. Elle est d’ailleurs au centre de la chrétienté et les rois l’ont toujours défendue, contrairement à ce qu’on peut dire. La liberté, une capacité à voir le bien, à le choisir et à le réaliser.

Elle a permis à un Louis XI[vii], une fois la guerre de Cent Ans achevée, de mettre en place les prémices d’un État moderne. En effet, aujourd’hui, quel retour en arrière depuis que nous ne maîtrisons plus notre destin, ayant remis notre souveraineté dans les mains d’institutions qui ne défendent plus nos intérêts, mais une sorte de compromis entre pays et organismes non élus et non soumis à contrôle !

Le sens de la mesure

N’est-ce pas le propre de l’homme que de tempérer ses passions avec ce qui le caractérise dans le monde des vivants, sa raison ?

En effet, comme le dit Aristote, nous sommes des animaux raisonnables. Et ce doit être encore plus vrai pour ceux qui ont une responsabilité, en particulier ceux qui gouvernent. Sinon, la société devient le champ où s’affrontent toutes les passions et en général, ce sont les gros bras et les grandes gueules qui l’emportent. Bien sûr, comme nous l’avons vu, les règles de vie en société sont aussi là pour tempérer ces ardeurs.

Les anciens ont parlé de la recherche du juste milieu. Même si ce n’est pas lié au compromis, on ne peut pas s’empêcher de le penser. C’est pourquoi je parlerais plutôt du sens de la mesure. C’est pourquoi aussi les rois n’ont pas cherché à développer un empire et, quand ils ont guerroyé à l’extérieur, ça s’est plus ou moins bien fini : les croisades, le Canada, etc. La recherche d’un agrandissement du « pré carré capétien » que nous avons évoqué plus haut est l’expression de ce sens de la mesure. Ne pourrait-on pas appeler aussi ce sens de la mesure la vertu de prudence ? Agir au regard de principes communs, la recherche du bien, au regard de principes propres, comme la nature même du peuple français qui se distingue du peuple allemand ou italien, et au regard des circonstances, hic et nunc, ici et maintenant.

Ce sens de la mesure peut se trouver dans des formes de gouvernement où il exil un équilibre entre les pouvoirs : celui d’un seul, le pouvoir exécutif du prince, celui de plusieurs, le pouvoir législatif du parlement, celui de tous, le pouvoir de voter donné aux populations, en particulier via le référendum. D’ailleurs, c’est ce que préconise Saint Thomas :

La meilleure organisation politique, dans une Cité comme dans un royaume, est celle dans laquelle un individu est mis à sa tête du fait de sa vertu, afin de commander à tous ; sous sa responsabilité, certains exercent un pouvoir du fait de leur vertu ; et le pouvoir en question n’en appartient pas moins à tous, autant parce que tous y sont éligibles, que parce que tous en sont électeurs.

Telle est la meilleure constitution, mélange équilibré de royauté — puisqu’un seul préside —, d’aristocratie — puisque beaucoup ont un pouvoir à exercer du fait de leur vertu —, et de démocratie (democratia), c’est-à-dire de pouvoir populaire — puisque les chefs peuvent être choisis au sein du peuple, et que c’est à celui-ci que revient l’élection de ses chefs[viii].

C’est un modèle de régime qu’on retrouve en Suisse ou au Liechtenstein. Peut-être que la taille et la tradition de ces pays y sont pour quelque chose, mais cela peut servir d’enseignement pour un pays comme le nôtre.

Conclusion

C’est en appliquant ces principes de gouvernement que les rois capétiens ont mis en place le socle de notre France contemporaine. Malheureusement, on le voit bien, les difficultés que notre pays rencontre aujourd’hui, parfois son recul, sont souvent liés à l’oubli de ces principes. En particulier notre liberté, qui est mise à mal dans les rapports que l’État entretient avec les citoyens, dans les rapports que les États entretiennent entre eux. Des libertés bafouées à l’intérieur comme on l’a vu avec la gestion de la pandémie de covid-19, une indépendance de plus en plus réduite à l’extérieur, comme on le voit avec la crise énergétique. Il serait intéressant d’ailleurs de faire une analyse comparative de la façon dont les libertés sont traitées dans les autres pays européens, en particulier les monarchies européennes.

Ces huit principes qui ont leur particularité, mais qui interagissent aussi comme un corpus, sont des plus actuels en ce sens qu’ils peuvent nous donner une dynamique de gouvernement respectueuse de ce que nous sommes et mettre en place les conditions d’une vie sociale heureuse. Ils peuvent être aussi applicables dans ces communautés ou structures plus petites, comme la famille ou l’entreprise. Pour l’entreprise par exemple : bien commun de la société avec la recherche d’un profit qui peut être ensuite redistribué et/ou réinvesti, justice dans les salaires en fonction du travail accompli, service rendu aux clients, règles simples avec des chartes d’entreprises, fidélité dans la mise en valeur des collaborateurs performants, continuité dans la transmission de l’entreprise, indépendance avec la maîtrise de son capital, sens de la mesure dans son développement.

Si on reprend l’encyclique « Laudato si »[ix], au centre de l’argumentation du Pape, il y a cette idée que ce que nous sommes, nous le répercutons sur ce qui nous entoure, la nature au sens large qui comprend aussi les autres êtres humains. Si nous sommes un être de puissance, nous chercherons à imposer notre volonté de puissance à ceux qui nous entourent. Si nous sommes des êtres de mesure, alors nous chercherons à être mesurés dans nos relations avec les autres. Dans ce domaine des relations sociales, les chrétiens, ajoute le Pape, ont un rôle important à jouer pour pacifier ces relations et, comme le sous-titre de l’encyclique l’indique, participer à la « sauvegarde de la maison commune »[x].


[i] Aristote, Éthique à Nicomaque.

[ii] Aristote, La Politique.

[iii] Jean de Joinville, Le Livre des saintes paroles et des bons faits de notre Saint Roi Louis, Payot, 1928.

[iv] Elisabetta Lurgo, Philippe d’Orléans, Perrin, 2018.

[v] Vauban dans une lettre à Louvois, en janvier 1673 ; Lucien Bély, s.v. Pré carré in Dictionnaire Louis XIV, 2015.

[vi] Jean de La Fontaine, Fables, Livre II, fable 11, « Le lion et le rat », 1668.

[vii] Lydwine Scordia, Louis XI. Mythes et réalités, Ellipses, 2015.

[viii] Thomas d’Aquin, Somme de théologie, Ia-IIae, q. 105 Respondeo.

[ix] Pape François, Loué sois-tu, Bayard, 2015.

[x] Ibid.