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Agressions antifas à Limoges… Quand StreetPress se risque à faire du journalisme

Par Olivier Perceval

On connaît ce média d’extrême-gauche qui considère que les « antifas » sont les sauveurs de l’humanité et que le seul danger qui menace, non pas la France car ce n’est pas leur sujet, mais modestement toute la planète (pour rester international), c’est la bête immonde au ventre encore fécond.

Ces mêmes antifas sont présentés, dans un article relatif à une rixe avec nos jeunes militants de l’Action française en avril, comme d’innocentes victimes de l’agressivité des descendants des camelots du roi lesquels, il est vrai à Limoges, à force de cercles, de conférences et d’activités de propagande, prennent leur place dans le paysage politique et gênent la domination sans partage de l’extrême-gauche depuis quelques années. Alors StreetPress, dont cet acronyme anglo-saxon souligne au passage sa vassalité atlantiste, fait dans l’approximatif et s’imagine que nos militants ont agressé de gentils antifas pacifiques. Ce sont des histoires à dormir debout qui sont dispensées par un média qui traque inlassablement le fascisme et « l’extrême-droite » dans laquelle il intègre l’Action française. Doit-on rappeler le nombre de plaintes (toujours classées sans suite) déposées par nos membres agressés à des sorties de réunion, de cercles, ou pendant une vente du journal Le Bien commun dans toute la France et toujours par des individus masqués se présentant comme antifas ? Même nos locaux parisiens ont fait l’objet de leurs attaques, certes repoussées sans ménagement.

À Limoges, après une première démonstration de violence, où nos militants ont été pris à parti par un groupe d’individus, les agresseurs ont été surpris de ne pas voir s’enfuir en courant leurs « proies » mais, au contraire, de les voir faire face courageusement et rendre coup pour coup. Par la suite, non contentes de cet exploit, deux jeunes femmes de la bande, apparemment très excitées ont poursuivi nos étudiants qui continuaient d’apposer des autocollants. Elles les ont provoqués et insultés pendant un temps qui a semblé bien long et l’exaspération montant a amené l’un des garçons à plaquer un autocollant sur la veste de l’une des filles… d’où la prétendue agression sexuelle totalement invalidée par la justice.

Bref, voilà comment les victimes sont transformées par la grâce d’un média subjectif en agresseurs. Chacun sait pourtant que pour les antifas, qui sont constitués en police de la pensée, la moindre parole contraire à leur idéologie est une agression et justifie des mesures répressives violentes.

Mais quand bien même StreetPress aurait, ce qui est présentement le cas, une réelle sympathie pour tout ce qui vient de l’extrême-gauche, cela ne devrait pas l’empêcher d’honorer la corporation journalistique en relatant les faits avec un minimum d’honnêteté et de déontologie professionnelle. Il semble cependant que ce soit au-dessus de ses forces. Il est déjà difficile de comprendre qu’un organe de presse puisse soutenir et justifier coûte que coûte les agissements de petites racailles haineuses et saturées d’idéologies à deux sous, mais une chose est certaine, StreetPress, à défaut d’être « Strict press », n’est que « Trist’ presse » et ne rend pas service à une profession déjà sujette à toutes les suspicions.