Par Olivier Perceval
Nous n’allons pas commenter à nouveau des résultats déjà scannés, disséqués, analysés par les spécialistes et experts de plateaux.
En ce début de semaine, nous trouvons à la tête de l’Assemblée ce qui se fait de plus haineux, de plus sectaire et de plus totalitaire, les alliés des antifas, des blacks blocks et du Hamas. Grâce à la dissolution et à la campagne de Macron et ses médias, des élites culturelles, sportives (avec la double intervention de Kylian Mbappé) et universitaires et surtout des arrangements les plus tordus pour les désistements, les voilà tout en haut du système en faillite.
Il n’est pas besoin d’être prophète pour deviner l’écroulement prochain du régime tout entier avec des ennemis de la France aux portes du pouvoir. Mais avant une chute fracassante, le système sera en situation de blocage, impossibilité de légiférer (sauf sur les questions sociétales les plus sordides, sur lesquelles tout le monde tombe d’accord, y compris les cadres du RN), pas de vote du budget et tandis que nos députés se crêperont le chignon au palais Bourbon, Bruxelles imposera sa loi par des directives qui seront discrètement validées en terme législatif. Les acrobates du « salto » électoral pourront trouver des arrangements en équilibre instable avec leurs complices, leurs chers ennemis pour la galerie, les magiciens du bonneteau démocratique, comme à leur habitude, car la France et les Français ne sont leur préoccupation ni aux uns ni aux autres.
Le président n’en a rien à faire non plus… Un observateur a émis cette réflexion de bon sens en regardant le résultat des législatives : « Le pays légal n’a pas besoin du pays réel pour fonctionner ».
La confusion qui s’annonce pour les prochains jours mettra à l’épreuve tous ceux qui, à la base, font vivre encore notre nation surendettée : les travailleurs manuels, les artisans, les paysans, les classes moyennes, les intellectuels libres, les chefs de PME, le personnel hospitalier, celui des forces armées, bref la France qui travaille et s’expose, et qui succombe sous la pression fiscale et administrative.
On ne peut pas continuer à vivre comme ça, il faudra prévoir ce qui se passera après la chute inéluctable un jour ou l’autre de la république. Nous ne voulons pas d’un sixième modèle, mais le retour de celui qui incarne l’Histoire de la construction de la France : « À l’atelier comme à la terre, le roi seul fort protégera les petits ».
Vive le roi ! À bas la République !