Par Guilhem de Tarlé
Cannes 2024 : Le Comte de Monte-Cristo, un film français de Matthieu Delaporte et Alexandre de La Patellière, avec Pierre Niney (dans le rôle-titre, alias Edmond Dantès), Anaïs Demoustier (Mercédès Herrera), Bastien Bouillon (Fernand de Moncef), Laurent Lafitte (Gérard de Villefort, le Procureur), Patrick Mille (Danglars), Pierfrancesco Favino (l’Abbé Faria), Anamaria Vartolomei (Haydée), Julien de Saint-Jean (Andrea, fils illégitime du Procureur), d’après l’œuvre d’Alexandre Dumas (1844).
Le Comte de Monte-Cristo… un livre que je pense avoir lu, enfant, mais dont je n’avais aucun souvenir autre que le Château d’If et l’existence de l’abbé… Je ne le retrouve d’ailleurs pas dans ma bibliothèque. De toute façon, 800 pages c’est trop pour moi et je ne le lirai ou relirai plus maintenant que j’ai vu ce film dont l’intrigue, a priori simple, me paraît compliquée à loisir avec énormément de personnages (une trentaine dans le texte)…
La durée du film (3h) et la bande-annonce ne me tentaient pas, et c’est faute de mieux que nous y sommes allés.
Tant mieux ! Je suis content d’avoir redécouvert ce roman au cinéma, et j’ai passé un bon moment dans ce long-métrage à grand spectacle et cette histoire d’amour et d’amours, de trahisons, de justice et de vengeance…
Sans doute les royalistes n’y sont pas présentés sous un beau jour, mais peut-on pinailler à l’ère des Macron, Mélenchon et autre Édouard Philippe qui appellent à voter communiste ?