Les habits neufs du terrorisme intellectuel

Jean Sévillia vient d’achever l’écriture de son nouvel ouvrage qui paraît dès janvier prochain aux Éditions Perrin. Il sera en vente alors à la Librairie de Flore, bien entendu !

Ce livre s’attache à montrer comment, en France, un petit milieu, essentiellement parisien, situé au carrefour de la vie intellectuelle et politique et du monde médiatique, s’est attribué le pouvoir de dire le bien et le mal, de distribuer les bons et les mauvais points et de décider des sujets qui sont autorisés dans le débat public ou, au contraire, interdits. Ce même milieu s’est doté de pouvoirs de police : police de la pensée, police du vocabulaire, police du comportement électoral. Ceux qui contreviennent à l’idéologie dominante risquent par conséquent l’injure, l’anathème, le mensonge, l’exclusion sociale, parfois un procès ou, plus grave encore, la pression psychologique et même la menace physique.

Bien que reprenant une large partie du Terrorisme intellectuel, paru en 2000, ce nouveau livre est aussi un livre nouveau ! En effet, huit nouveaux chapitres représentent deux cents pages supplémentaires abordant tous les sujets qui, des années 2000 à aujourd’hui, ont été décrétés intouchables : projet européen dénaturé et détourné quand il devient une machine oublieuse de la personnalité de chaque peuple ; culture de l’excuse qui désarme l’autorité face à l’explosion de la délinquance ; encouragement au communautarisme et développement de l’islamisme ; perte de contrôle de l’immigration ; bouleversements anthropologiques interprétés comme des progrès de la modernité ; wokisme et racialisme d’extrême gauche ; attribution extensive de l’étiquette d’« extrême droite », qualificatif infamant, à toute personne ou toute pensée dissidente, etc.

La préface est de Mathieu Bock-Côté, l’essayiste québécois désormais bien connu en France.

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To glance at your wrist, rather than unlock a portal to infinite distractions, is to reclaim a moment of focus. It is an act of mindfulness. The ritual of winding a manual watch each morning becomes a grounding pause, a personal connection to the mechanism that will measure your day.

It represents a commitment to being present, to valuing the qualitative experience of time over its quantitative, frantic measurement.

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