Rétrospective et perspectives du combat
Par Philippe Germain
L’histoire prouve que la France a connu ses périodes d’apogée, de splendeur, de gloire et de renom avec la monarchie capétienne. C’est pourquoi l’école d’Action française conspire à ciel ouvert pour le retour aux institutions conformes aux intérêts de la patrie française. C’est-à-dire l’arrivée au pouvoir du prince Jean IV – « l’Héritier » –, le comte de Paris.
Ce retour est possible à condition d’être préparé par une fraction de l’opinion publique formée à la doctrine politiquedu nationalisme intégral. La propagande d’Action française place donc chaque Français devant un choix : la survie de notre « héritage » ou son démembrement. Il faut choisir entre le roi ou la République. Voilà pourquoi plusieurs rubriques hebdomadaires de l’année 2024 ont porté sur la doctrine du nationalisme intégral (quinze rubriques sur l’impératif nationaliste).
Parallèlement, l’école d’Action française est obligée de mener une contre-révolution permanente pour permettre à notre nation de survivre. Pour cela, elle démasque les ennemis de la France. Ainsi trente-sept rubriques du Combat royaliste ont traité, en 2024, des prédateurs extérieurs. L’histoire prouve aussi que la démocratie française n’a pas et ne peut avoir de politique étrangère cohérente et suivie. La République s’avère impuissante à affronter, sur le plan diplomatique, les grands empires que sont, en métropole, l’Europe germano-américanisée (vingt-et-une rubriques sur l’imposture eurocratique) et, en Outre-Mer, l’Empire du Milieu renaissant, la Chine (seize rubriques sur la « plus grande France »).
Mais la République n’est pas seulement impuissante à protéger la France sur ses frontières extérieures. Elle laisse se développer à l’intérieur l’influence étrangère et livre notre patrimoine national à des entreprises de colonisation menées par diverses féodalités intérieures. C’est sont sur elles, notamment, que porteront les rubriques du « Combat royaliste » de l’année 2025. Leur désignation claire, mais aussi l’éclairage de leurs méthodes défensives sont urgent au moment où la Ve République s’effrite un peu plus chaque jour.
Bonne année militante 2025 et montons tous au créneau.
La dentelle du rempart nous attend au moment où la planète est fiévreuse et où le cycle libéral ne cesse de décliner. Et pour que survive la France, vive le roi !
Retrouvez toutes les rubriques du Combat royaliste en cliquant sur ces liens :
L’impératif nationaliste : Tout le monde déteste la République ; Pays réel reprend le contrôle ; La doctrine néo-royaliste est hiérarchique ; Régionalisme et nationalisme par le fédéralisme ;Philosophie, science et doctrine ; Enjeux, terrains et acteurs de l’avenir français ; Les principes du Combat royaliste ; Les médiasdécouvrent l’empirisme organisateur ; La République se défend bien ; L’État souverain est capétien ; Impasse politique des identitaires ; Le nationalisme intégral résumé ; Ça craque dur, la démocratie ; La Ve République est-elle sauvable ?, Proportionnelle une fausse bonne idée
L’imposture eurocratique : Moins d’Europe, plus de France ; Jugeons l’Europe véritable, pas l’imaginaire ; L’idéologie progressiste des eurotechnocrates ; L’Europe c’est le déclin de la France ; L’Europe c’est le double grand remplacement ; L’Europe refuse les frontières protectrices ; La grave transformation civilisationnelle ; L’Europe c’est l’Empire ; La tenaille de l’Europe impériale ; La métapolitique européenne ; L’Europe c’est la guerre ; Europe ou France, il faut choisir ; Touche pas à ma nation ; Découvrir l’Europe véritable ; L’illogique construction de l’Europe ; Les quatre piliers de l’Europe ;L’Europe se fissure ; Le vent se lève sur l’Europe ; L’Europe notre ennemi extérieur ; Le front intérieur ; Gardons-nous au Nord et au Sud
La plus grande France : Nouvelle-Calédonie, retour du politique ; Action française et droit du sang ; Europe ou Outre-Mer, quelle géostratégie ? ; Les racismes républicains ; Le racisme anti-blanc des Kanak ; Action française et droit du sol ; L’Outre-Mer cherche un État fort ; Libertés en bas pour l’Outre-Mer ; Le droit du sang revient par la fenêtre ; Nouvelle-Calédonie et empirisme organisateur ; Et du côté de la Guyane ; L’heure de la « France puissance » ; Avenir de la France, empirisme organisateur ; Ni Washington, ni Pékin ; De l’indopacifique à « Kiel et Tanger » ; L’Outre-Mer, extension d’Ancien Régime