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La République française n’est plus un État souverain. Ce qu’on appelle encore l’État n’est qu’un simulacre : un ensemble d’institutions dévitalisées, mises au service d’intérêts idéologiques. Ministères, agences, commissions indépendantes et comités en tout genre ne garantissent plus ni l’ordre ni la justice : ils gèrent, ils régulent, ils parasitent. Derrière leur façade institutionnelle, ces structures fonctionnent comme des relais de l’anti-France. La puissance publique a été confisquée par une caste de technocrates et de militants qui gouvernent sans enracinement, sans histoire, sans peuple. L’État ne protège plus, il surveille. Il n’ordonne plus, il exécute. Le bien commun n’est plus une finalité, mais un slogan vidé de sens. La République actuelle n’est pas neutre : elle est engagée dans une entreprise de déconstruction méthodique de la civilisation française. L’autorité politique, elle, s’est concentrée dans les mains d’un président sans incarnation, sans légitimité traditionnelle, et sans attachement au destin national. Emmanuel Macron incarne cette présidence hors-sol, produit d’une élite mondialisée et coupée de la France réelle. Son action est marquée par l’improvisation permanente et la soumission aux injonctions de l’ordre global. Ce pouvoir n’a plus de contrepoids. Il agit en roue libre, piloté par des dogmes venus d’ailleurs. La République n’a pas seulement abandonné la souveraineté : elle la combat. Elle attaque les fondements historiques de la nation – famille, Église, école, armée – pour mieux imposer une société liquide, déracinée, désorientée. L’éducation nationale devient un laboratoire de rééducation idéologique. La culture républicaine actuelle célèbre la rupture, la confusion, la subversion. Ce régime ne produit que l’effondrement : effondrement des valeurs, des institutions, de la confiance populaire. Il ne laisse qu’un choix : la soumission ou la reconquête. Reconquête d’une autorité légitime, enracinée, organique. Reconquête d’un État digne de ce nom, au service de la nation. Hilaire de Crémiers et Olivier Tournafond n’ont pas simplement analysé un pouvoir : ils ont révélé un système. Une mécanique froide, implacable, technocratique. Et la nécessité brûlante d’y mettre fin, en direct sur GPTV avec Nicolas Stoquer !