Attentats de Bruxelles : indécence et déraison de nos politiciens

Un nouvel attentat ? On attend le prochain.

Que dire, encore ? Pouvons-nous décemment écrire que les dogmes démocratiques, de droit de l’homme et d’accueil inconditionnel, trouvent ici leur illustration la plus dramatique ? Est-il raisonnable de penser que les puissants qui nous administrent sont incapables, une nouvelle fois, de tirer une leçon des assassinats ayant frappé, sans discernement, des Belges aujourd’hui, après des Français hier ?

L’indécence, c’est l’incapacité de nos politiques à prendre la pleine mesure des assassinats perpétrés contre des nations européennes par des islamistes déterminés.
La déraison, c’est de continuer de croire que la société cosmopolite d’hommes déracinés peut continuer à être promue alors que ses effets collatéraux coûtent aussi chers en vies humaines.

Les mêmes causes produisant les mêmes effets : quand aura lieu le prochain attentat ? Peut-être devrions-nous nous interroger davantage sur le fait que les peuples payent chèrement la xénophilie des élites, qui, elles, continuent dans l’insouciance et la quiétude d’entrevoir leurs prochains mandats ? Si un nouvel attentat vient à sacrifier à nouveaux des Français, le gouvernement peut s’attendre à une réponse de la rue à la hauteur de son incurie.