Malgré l’assourdissant silence des responsables politiques et des médias, le scandale de la Chapelle finit par éclater au grand jour. Il existe en effet à Paris (mais aussi en d’autres lieux dont on ne parle pas), des rues, des quartiers, où il n’est pas bon être femme.
Il aura fallu le courage de quelques unes d ‘entre elles pour se constituer en association et dénoncer auprès des pouvoirs publics, étrangement passifs, les agressions verbales et gestuelles dont les femmes sont l’objet dans le quartier de la Chapelle, certaines ayant même subi des menaces explicites : Climat d’insécurité dans un quartier à l’abandon, où immigrés et réfugiés sans activités licites, font la loi. Cela dure depuis un an, et personne ne bouge et surtout pas les organisations féministes, trop occupées à montrer leurs tétons aux cathos, ou à prêcher l’extermination des enfants handicapés dans le sein de leurs mères.
Ces organisations, violentes et vulgaires, n’avaient pas plus réagi au moment des viols de Cologne. Autrement dit, si vous êtes européen, blanc, voire de culture chrétienne, vous êtes forcément un salaud de macho ; mais si vous êtes d’origine africaine, maghrébine ou afghane et que vous violez et maltraitez des femmes, vous n’êtes qu’une victime du racisme.
Bien sûr, en écrivant cela, je sais que nous enfonçons des portes ouvertes, et que nous relayons ici l’opinion de nombreux compatriotes qui sont au comble de l’écœurement devant une politique, soit volontairement orientée vers la destruction du substrat de civilisation qui caractérise notre collectivité nationale historique, soit aveuglée par une sorte d’humanisme mal assimilé qui détruit au bout du compte notre population.
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