Avec « la notion de terrorisme islamiste dans la délibération et sur la stèle, le maire poursuit ses provocations et inscrit dans le marbre sa vision de la guerre de religion », ont réagi les élus du Front de Gauche de la ville de Montfermeil (Seine-Saint-Denis), comme le rapporte Le Figaro.
Le 23 mai dernier, trois élus de l’opposition avaient quitté la salle à l’annonce de l’intitulé de la plaque commémorative du colonel Arnaud Beltrame, mort en héros lors de la prise d’otage du Super U de Trèbes (Aude).
Amalgames
Des dizaines de villes ont renommé une rue, une place ou une école. Le seul maire à avoir employé le terme « terrorisme islamiste », avant Xavier Lemoine, maire PCD de Montfermeil, est Robert Ménard, le maire de Béziers (Hérault) proche de l’extrême droite. « Ces termes ne sont pas innocents quand ils viennent de ces maires », accusent les élus Front de Gauche.
La suite