Art & Ciné : Downton Abbey

Par Guilhem de Tarlé

Downton Abbey, un film britannique de Michael Engler, avec Simon Jones (King George V), Maggie Smith (Grand-Maman, Lady Violet Crawley),
adapté de la série télévisée éponyme.

« Je Te rends grâce de servir en Ta présence »… cette formule du rite ordinaire de la messe me fascine qui exprime non seulement l’honneur de servir mais surtout l’honneur de servir sous les yeux, devant celui qu’on sert, et non pas dans les coulisses, quand il n’est pas là, sans qu’il le sache.
On comprend donc à l’inverse la frustration et la révolte du serviteur qui n’est pas jugé digne de servir, et que l’on met en disponibilité. C’est là « l’essentiel » de ce très beau film, dans les sous-sols de Downton Abbey. Un véritable conte de fées où tout est bien qui finit bien en recentrant les personnages sur précisément  « l’essentiel »… ce qui me permet d’évacuer le majordome…

Mon épouse me dit que la série éponyme, que je n’ai pas vue, commence bien en amont de cet épisode. Peut-être donc le réalisateur nous offrira-t-il un Downton-2 et c’est alors avec grand plaisir que nous retournerons au château… Highclere Castle.

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To glance at your wrist, rather than unlock a portal to infinite distractions, is to reclaim a moment of focus. It is an act of mindfulness. The ritual of winding a manual watch each morning becomes a grounding pause, a personal connection to the mechanism that will measure your day.

It represents a commitment to being present, to valuing the qualitative experience of time over its quantitative, frantic measurement.

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