Sans l’indépendance de l’État, il n’y a pas de libertés
Nous vivons depuis maintenant près de 2 ans sous le signe du « Covid », de ses dérivés et des conséquences imposées par notre gouvernement.
Dans le temps, ces mesures paraissent contradictoires, improvisées. Cela est dû en grande partie à des contraintes matérielles : manque de masques, de lits dans les hôpitaux, surtout en réanimation, mauvaise organisation de notre système de santé, beaucoup trop centralisé, à l’administration tentaculaire et onéreuse, etc.
Des leçons sont à tirer de cet état de fait. Nous pouvons reprocher à notre gouvernement de ne rien faire pour améliorer la situation pour pouvoir avoir les moyens de faire face lors d’une nouvelle épidémie, ce qui arrivera fatalement. L’histoire nous montre que cela arrive régulièrement et sans « prévenir ». Il faut donc être prêt. Au contraire, sans doute pour faire des économies, il semble que le pouvoir aggrave les choses pour l’avenir : il y aurait eu encore des suppressions de places dans les hôpitaux alors qu’il faudrait en créer !
Dans le monde, nous constatons des réactions très différentes d’un pays à l’autre. Certains n’ont pris aucune mesure particulières, se contentant de préconiser de la prudence dans les relations entre les personnes (Suède, certains États des USA,…) et d’autres ont pris des mesures très strictes (confinements, fermetures des écoles,…) un peu comme la France avec tous les intermédiaires possibles. Or, il semble, pour l’instant, que le pourcentage de morts par rapport aux habitants soit à peu près le même quelque soit la politique suivie. Pourcentage d’ailleurs très faible comparé à d’autres pandémies ! Ajoutons que dans certains pays, il y avait des politiques de traitements dès les premiers symptômes alors que d’autres ne soignaient que plus tardivement. Tous, par contre, ont comptés sur les différents vaccins pour juguler l’épidémie. Raison pour laquelle ils furent distribués très vite avant même que les essais ne soient terminés (ils ne le sont toujours pas, raison pour laquelle il est difficile et sans doute illégal de les rendre obligatoires). Ces vaccins – ceux autorisés en France comme les autres – semblent diminuer les risques du moins pour les formes graves de la maladie. C’est déjà quelque chose mais cela justifie-t-il un tel acharnement ? Et puis il y a quand même des incertitudes sur les conséquences à moyen et long terme surtout pour les vaccins à base d’ARN messagers, selon de nombreux scientifiques. Risques faibles sans doute mais risques. Cela justifie l’objection de conscience d’ailleurs reconnue par les Évêques de France, du moins tant que les périodes d’essai ne seront pas terminées.
Le gouvernement, conscient de ce problème, tourne le problème en imposant un « passe sanitaire » pour de nombreuses activités, ce qui revient à rendre le vaccin pratiquement obligatoire ! Remarquons qu’il doit douter de son efficacité car, autrement, il rendrait d’abord ce « passe » obligatoire là où il y a le plus de promiscuité, en particulier les transports en commun (bus, métros, trams, RER,…) et non pas dans les cafés et restaurants, surtout les terrasses, où cela ne sert à rien !
Nous pouvons nous demander à quoi rime réellement ce « passe sanitaire » pour nos gouvernants ? Et là nous nous rappelons que certains comme Jacques Attali, le « mentor » de Macron, mais aussi le créateur du forum de Davos, Klaus Schwab, ou le sulfureux George Soros et leurs amis souhaitaient l’apparition d’une épidémie afin de tester des systèmes de contrôle de la population comme le « passe sanitaire » ! Ensuite, cela pourrait être généralisé s’il n’y avait pas trop de réactions. Ainsi, avec ce « contrôle » et la mondialisation, la finance internationale pourrait multiplier ses profits… Complotisme ? Non car un complot est par définition secret et mis en place par un ou des groupes occultes. Là, ce n’est pas le cas, car les personnages cités et d’autres ont clairement annoncé cet objectif par écrit ou lors de conférences publiques et largement diffusées. Philippe de Villiers en donnent toutes les preuves dans son dernier livre « Le Jour d’après ». Et c’est cela qui justifie pleinement les manifestations du samedi qui rassemblent des centaines de milliers de personnes. Nous remarquerons que plus il y a de monde, moins il est dénombré de manifestants par la propagande officielle !
Que l’on comprenne bien, il se pourrait très bien qu’un « passe sanitaire » put être utile à un moment ou un autre dans la vie d’un pays et qu’un pouvoir indépendant l’impose à ce moment là. Il serait en place pour un moment donné et sans arrière pensée. Mais, justement, il faut pour cela un pouvoir indépendant, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui, en république. Comment ne pas penser que nos « dirigeants » suivent les directives de leurs « commettants » ? Surtout que cela peut permettre aussi de contrôler les électeurs ! Remarquons que dans le même temps, dans ce même but de « contrôle », d’autres libertés sont supprimées visant en particulier les familles comme l’enseignement à la maison, les écoles hors contrat, les autorisations données aux mineurs sans l’autorisation des parents…
Ici comme dans tous les autres domaines, sans l’indépendance de l’État, il n’y a pas de libertés et, en France, il n’y a qu’un seul pouvoir indépendant possible, celui de notre Roi. Et nous ne pouvons faire confiance à aucun des candidats à la présidentielle de 2022 car, même s’il y en avait un qui souhaiterait aller vers plus d’indépendance il serait pris dans le système et ferait comme les autres !