Éric Zemmour à Versailles : à la conquête de la France bien élevée

Toute la presse en bruisse : « À Versailles, la love story de Zemmour et de la droite catholique » (Le Point), « Comment Éric Zemmour veut chasser sur les terres de la Manif pour tous » (BFM TV), « Éric Zemmour en opération séduction chez les catholiques conservateurs » (Le Figaro), « Éric Zemmour : à Versailles, la défense des racines de la France séduit » (Marianne).

Rien d’étonnant. Cela fait bien longtemps que ce public suit Éric Zemmour : d’abord l’éditorialiste (Le FigaroRTLParis Première et, évidemment, CNews), mais aussi l’essayiste. La plupart de ces catholiques conservateurs ont ses œuvres complètes dans leur bibliothèque, pieusement dédicacées, par exemple lors des précédentes causeries organisées par Pierre Nicolas, Benoît et Nicolas Sevillia, les fameux Éveilleurs d’espérance qui organisaient cette rencontre, mardi 19 octobre. Éric Zemmour lui-même en badine : « Je suis un habitué de Versailles, je pense que je vais m’installer ici (rires). Pas au château, hein, je ne me prends pas encore pour Louis XIV ! »

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To glance at your wrist, rather than unlock a portal to infinite distractions, is to reclaim a moment of focus. It is an act of mindfulness. The ritual of winding a manual watch each morning becomes a grounding pause, a personal connection to the mechanism that will measure your day.

It represents a commitment to being present, to valuing the qualitative experience of time over its quantitative, frantic measurement.

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