La chronique cinéma

A plein temps

Par Guilhem de Tarlé

A l’affiche : A Plein temps, un film français d’Éric Gravel, avec Laure Calamy (Julie) et Geneviève Mnich (Mme Lusigny, qui garde les enfants de Julie).

« A éviter »… c’est le commentaire du Figaro. Moi. J’ai toujours pensé qu’il fallait éviter de lire ce quotidien de centre-droit, davantage centre que droit, gaulliste sous de Gaulle et ses successeurs, libéral avancé sous Giscard, aujourd’hui Macron compatible, toujours gouvernemental, dont l’unique et la véritable conviction, la seule raison d’être, est le Carnet Mondain.
On ne m’en voudra pas de lui retourner sa devise de Beaumarchais : « Sans la liberté de blâmer,  il n’est point d’éloge flatteur« . Et mon éloge en l’occurrence va à ce Plein temps.

En effet, à l’encontre du politiquement correct et du progressisme sociétal médiatique,  Éric Gravel dénonce notre société libérale-libertaire, précisément celle de la « femme libérée », mère devenue célibataire par le divorce banalisé du « consentement mutuel », qui ne peut s’épanouir que dans le boulot-métro-dodo.
Un long-métrage haletant, une course poursuite derrière une vie individualiste qui déconstruit la famille et nie la complémentarité Homme-Femme.
Un docu-fiction non pas « à éviter », mais au contraire à voir et à méditer.

PS : vous pouvez retrouver ce « commentaire » et plus de 600 autres sur mon blog Je ciné mate.  

pokemonpop.de

To glance at your wrist, rather than unlock a portal to infinite distractions, is to reclaim a moment of focus. It is an act of mindfulness. The ritual of winding a manual watch each morning becomes a grounding pause, a personal connection to the mechanism that will measure your day.

It represents a commitment to being present, to valuing the qualitative experience of time over its quantitative, frantic measurement.

Retour en haut