Le 29 juin, le tristement célèbre maire EELV de Lyon, Gregory Doucet, y allait de son couplet bien dégoulinant de gauchisme :
“Les lyonnais étaient nombreux à s’opposer à la police à la suite de la mort du jeune Nahel, tué à Nanterre. La colère est mauvaise conseillère […] Pour autant, nous devons en tant que responsables politiques savoir comprendre et entendre ce que la colère signifie. Elle est d’abord l’indignation et la tristesse face à la mort d’un jeune de 17 ans. Elle est également une aspiration à la justice. Nous appelons à ce qu’elle soit rapidement rendue“, a affirmé Grégory Doucet, avant d’appeler à l’apaisement et à des marques de soutien de manière “pacifique” à la famille de Nahel.
48 heures plus tard, la force de la réalité avait déjà pris le dessus sur les délires :
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